Le bonheur dépend essentiellement de la manière dont nous percevons et vivons les choses. C’est avant tout le fruit d’une nouvelle manière d’être ensemble.
Développer cette qualité d’être c’est peu à peu se libérer des réflexes instinctifs tels la peur, la colère, l’esprit de vengeance, les pulsions destructrices, l’angoisse existentielle liée au sentiment de constante insécurité etc… c’est en prenant progressivement conscience de tous ces aspects et en les travaillant que nous développons – sans même nous en apercevoir – une nouvelle nature, un être nouveau, car se dépasser c’est se transcender, c’est devenir… profondément HUMAIN.
Et le propre de l’être humain c’est d’aimer, de coopérer, d’induire des relations toujours plus apaisées avec ses semblables comme avec tout le vivant, pour finalement se fondre dans cette maxi « intelligence collective » ou grande âme planétaire.
En somme, le bonheur individuel n’existe qu’en relation harmonieuse avec le Tout, qu’on appelle aussi : la Vie.